partie d'un article consacré aux dépenses de la présidence
Se réveiller et lire ça, moi je trouve ça écoeurant, surtout le dernier paragraphe (en mauve) ou en plus il faudrait faire preuve de compréhension et replacer "ça" dans le contexte!!
je crois que je vais vomir, sous prétexte que se sont des présidents ,des personnalités...ils faut qu'ils mangent pour 5000 euros par personne. Je ne savais pas que le foie gras et autres délicatesses étaient important pour aider à la réflexion !!!
Donc la solution : donner ce genre de mets à nos enfants tous les jours et ils deviendront Présidents de la république !! ;D
Ci dessous donc l'extrait de l'article du Point.fr....attention âmes sensibles s'abstenir .....
"Un sommet hors-norme", notent les services de Philippe Séguin qui regrettent : "La mise en place tardive de sa préparation a été menée suivant des procédures obligatoires qui n'ont pas permis de faire jouer la concurrence." Le budget dépensé pour cet évènement a servi notamment à un réaménagement complet du Grand Palais pour trois heures de réunion, avec 91.500 euros dépensés pour de la moquette éphémère, 194.900 euros pour des jardinières, 136.000 euros consacrés au fond de scène et 245.572 euros pour une douche temporaire installée pour Nicolas Sarkozy, qui n'aurait jamais été utilisée. Pis, 1.010.256 euros ont été dépensés pour le seul dîner des chefs d'État le 13 juillet au soir, qui comptait 200 convives, soit 5.362 euros par invité.
"Alors que tous les Français doivent se serrer la ceinture, apprendre que le chef de l'État organise, avec l'argent des Français, un repas qui coûte 5 fois le Smic par personne, c'est inimaginable et intolérable", s'indigne le député de l'Aisne apparenté socialiste René Dosières.
"C'est en soi choquant, mais il faut restituer cette dépense dans son contexte et regretter qu'il n'y ait pas eu une meilleure organisation pour ce sommet, et l'application des règles en vigueur avec notamment l'appel à la concurrence", note de son côté le président de la commission des finances du Sénat, Jean Arthuis.